La cour de Méral

Au fil des ans, les greniers et dépendances de ce logis de 1830 ont accueilli de plus en plus d’objets chinés par les actuels propriétaires, pour rejoindre des vestiges laissés par les précédents occupants du logis, comme un magnifique poêle Le Phare de la fin du XIXe siècle ou un étonnant tableau de sonnettes qui permettait d’indiquer aux domestiques la pièce dans laquelle on avait besoin d’eux…

Il est temps aujourd’hui de mettre un peu d’ordre dans ce joyeux fatras. Les propriétaires et un couple d’amis, comme eux chineurs invétérés, ont donc décidé d’organiser un vide-maison dans une des dépendances.